Il a d'abord été pilote de Grand Prix motocycliste avant de commencer une carrière politique.
Carrière politique :
En 1983, il est élu conseiller municipal de Nice en charge de la délégation aux sports. Deux ans plus tard, il entre au conseil général des Alpes-Maritimes dont il est le benjamin. En 1988, à 33 ans, il est élu député de la cinquième circonscription des Alpes-Maritimes (Nice–Montagne) après avoir battu au second tour Jean-Hugues Colonna (PS). Ses détracteurs de la droite niçoise le surnomment alors le "motodidacte".
Parallèlement à ces fonctions, il est élu en 1989 à la tête du comité départemental de la fédération RPR des Alpes-Maritimes. En 1992, il devient premier vice-président de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur: il quittera son mandat de conseiller régional en 2002 pour cause de cumul de mandat.
En 2001, Christian Estrosi est élu conseiller général du canton de Saint-Etienne-de-Tinée avec plus de 80% des voix dès le premier tour. Dans la foulée il est élu premier vice président du Conseil général des Alpes-Maritimes.
Soutenu par de fidèles amis dont Jean-Claude Gaudin et Nicolas Sarkozy, il est réélu député en 1993,1997 et 2002.
Le 18 septembre 2003 Christian Estrosi est élu Président du Conseil général des Alpes-Maritimes, présidence confortée en mars 2004.
Christian Estrosi a été rapporteur en 2002 et 2003 à l'Assemblée Nationale des lois sur la sécurité intérieure. Il est d'ailleurs l’auteur de Insécurité : sauver la République publié aux éditions du Rocher en 2001.
Il est nommé ministre délégué à l'Aménagement du territoire auprès du Ministre d'État, ministre de l'Intérieur et de l'Aménagement du territoire Nicolas Sarkozy, dans le premier gouvernement de Dominique de Villepin le 2 juin 2005. Dès sa nomination, il se saisit des dossiers des pôles de compétitivité, puis des pôles d'excellence rurale. Dans un souci d'équité envers l'ensemble du territoire, Christian Estrosi s'est engagé à ce que 100% des communes françaises aient accès au haut débit, à la téléphonie mobile, mais aussi à la télévision numérique. Pendant les derniers mois de sa fonction, il prend position en faveur du ferroutage et du transport fluvial.
Mandats
Carrière politique :
En 1983, il est élu conseiller municipal de Nice en charge de la délégation aux sports. Deux ans plus tard, il entre au conseil général des Alpes-Maritimes dont il est le benjamin. En 1988, à 33 ans, il est élu député de la cinquième circonscription des Alpes-Maritimes (Nice–Montagne) après avoir battu au second tour Jean-Hugues Colonna (PS). Ses détracteurs de la droite niçoise le surnomment alors le "motodidacte".
Parallèlement à ces fonctions, il est élu en 1989 à la tête du comité départemental de la fédération RPR des Alpes-Maritimes. En 1992, il devient premier vice-président de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur: il quittera son mandat de conseiller régional en 2002 pour cause de cumul de mandat.
En 2001, Christian Estrosi est élu conseiller général du canton de Saint-Etienne-de-Tinée avec plus de 80% des voix dès le premier tour. Dans la foulée il est élu premier vice président du Conseil général des Alpes-Maritimes.
Soutenu par de fidèles amis dont Jean-Claude Gaudin et Nicolas Sarkozy, il est réélu député en 1993,1997 et 2002.
Le 18 septembre 2003 Christian Estrosi est élu Président du Conseil général des Alpes-Maritimes, présidence confortée en mars 2004.
Christian Estrosi a été rapporteur en 2002 et 2003 à l'Assemblée Nationale des lois sur la sécurité intérieure. Il est d'ailleurs l’auteur de Insécurité : sauver la République publié aux éditions du Rocher en 2001.
Il est nommé ministre délégué à l'Aménagement du territoire auprès du Ministre d'État, ministre de l'Intérieur et de l'Aménagement du territoire Nicolas Sarkozy, dans le premier gouvernement de Dominique de Villepin le 2 juin 2005. Dès sa nomination, il se saisit des dossiers des pôles de compétitivité, puis des pôles d'excellence rurale. Dans un souci d'équité envers l'ensemble du territoire, Christian Estrosi s'est engagé à ce que 100% des communes françaises aient accès au haut débit, à la téléphonie mobile, mais aussi à la télévision numérique. Pendant les derniers mois de sa fonction, il prend position en faveur du ferroutage et du transport fluvial.
Mandats :
Carrière moto :
- 1972 : Première course en 250 - 5e au Paul-Ricard à 17 ans
- 1974 : Tour de France moto : casse en tête et 2e au Bol d'or sur Kawasaki
- 1976 : 4e du Moto Journal 200, 2° à Dijon, 2e des 1 000 km de Mugello sur Ducati, vainqueur du trophée FIM de Nogaro
- 1977 : Vainqueur en championnat du Monde 750 à Dijon
- 1978 : 4e au grand Prix de France 500 (Nogaro) et 4e en 750 en Espagne et aux Pays-Bas
- 1979 : 2e et 3e en 750 à Nogaro
- 1983 : Arrêt de la compétition
- 2004, 2005 : Participation aux coupes moto-légende